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Compte Twitter piraté : 8 manières de le sécuriser

Sécurité Twitter
Twitter est un service de micro blogging qui peut se retourner contre vous et ridiculiser votre e-réputation. Si vous manquez de vigilance, si vous n’êtes pas assez attentif à la sécurité de votre compte, vous pourrez goûter aux affres du piratage. Ces 8 points listés ci-dessous vous permettent de ne pas laisser votre compte Twitter à la merci de n’importe qui. Ce sont des bases à connaître.
Pourquoi votre compte Twitter pourrait être piraté ?
1. Vous utilisez un mot de passe faible
Utilisez un mot de passe compliqué. Évitez les « 123456 », « azerty » ou autres facilités. Évitez de choisir des termes du dictionnaire quelle que soit la langue. N’utilisez pas un même mot de passe pour plusieurs comptes.
2. Vous faites trop confiance aux sites douteux
Méfiez-vous du phishing – sites de hameçonnage. Il n’y a qu’un seul domaine pour se connecter à Twitter : Twitter.com. N’envoyez aucune information personnelle par courriel et ne donnez pas vos identifiants à des sites douteux.
3. Vous faites confiance à tous les programmes et applications
Ne faites pas confiance aux programmes et applications tierces qui vous demandent de leur fournir votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. N’hésitez pas à supprimer les applications que vous utilisez rarement. Pour cela il vous suffit d’aller dans les paramètres de votre compte, dans la page desApplications vous trouverez l’ensemble des applications connectées à votre compte Twitter.
4. Votre connexion n’est pas sécurisée
Pour vous connecter à Twitter via un réseau WIFI public privilégiez une connexion sécuriséehttps://twitter.com. Dans les paramètres de votre compte cochez « Toujours utiliser le HTTPS ». [à lire:Twitter permet d'activer le protocole HTTPS]
5. Vous cliquez bêtement sur tous les liens raccourcis
Ne cliquez pas sur tous les liens raccourcis publiés sur Twitter – surtout dans les messages privés. Vous pouvez vérifier les URLs raccourcies avec le site http://untiny.me/. Si les liens proviennent de Goo.gl ou de Bitly.com ajoutez un « + » à la fin de l’URL raccourcie pour voir vers quelle page le lien pointe. Il existe des extensions pour navigateurs web qui vous permettent de voir l’URL d’origine.
6. Vous ne mettez pas à jour votre antivirus
Mettez à jour votre anti-virus régulièrement et nettoyez votre ordinateur des impuretés une fois par semaine ou par mois. Évitez de télécharger des fichiers zippés douteux et des programmes douteux. Évitez de naviguer sur des sites douteux infestés de publicité.
7. Votre compte Twitter est à la merci du public
Si vous utilisez un ordinateur public ne quittez jamais votre place sans avoir été déconnecté de votre compte. Si vous partagez un ordinateur avec une autre personne vérifiez que votre mot de passe ne se soit pas enregistré dans le navigateur web.
8. Vous n’utilisez pas d’adresse email privée
L’adresse email de votre compte Twitter doit être strictement privée sauf dans le cadre d’une utilisation professionnelle. Dans les paramètres de votre compte cochez la ligne « Exiger des informations personnelles pour réinitialiser mon mot de passe ».





sur le cloud
   

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D’après un email envoyé aux développeurs qui utilisent l’API Dropbox dans leurs applications, le célèbre service de stockage et de partage de fichiers ne devrait plus créer le dossier Public aux nouveaux utilisateurs à partir du 1er août.
dropbox icon2 Dropbox va bientôt abandonner la création du dossier Public pour les nouveaux utilisateurs
La situation ne change pas pour les utilisateurs actuels du service : ils pourront continuer à partager facilement des fichiers avec leur dossier Public. Les utilisateurs qui s’inscrivent après le 1er août ne pourront ni accéder et partager des fichiers dans ce dossier.
Une telle modification impacte forcément les développeurs ainsi que leurs applications. En effet, les applications qui dépendaient des dossiers publics vont devoir modifier les appels à l’API Dropbox.
Pour les nouveaux utilisateurs, il ne sera bientôt plus possible de partager un lien menant au dossier Public (c’était pourtant bien pratique par moment), même s’il reste encore plusieurs manières de partager ou envoyer des fichiers à ses amis avec Dropbox.
Vous étiez nombreux à utiliser ce fameux dossier Public ?  
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Dropbox propose le streaming vidéo sur Android 4.0

Julien L. - publié le Mardi 12 Juin 2012 à 11h57 - posté dans High-Tech

Dropbox ne se limite pas à l'hébergement. Le service intègre depuis peu de nouvelles fonctionnalités de partage qui risquent de ne pas ravir les ayants droit. Si depuis avril Dropbox permet de partager des liens de téléchargement, l'application Android propose désormais le streaming vidéo.

Depuis fin avril, Dropbox permet à ses utilisateurs de partager des liens de téléchargement. Grâce à cette fonctionnalité, les autres internautes peuvent récupérer des fichiers ou des dossiers sans avoir besoin ni d'utiliser le logiciel ni de s'inscrire au préalable sur le service de stockage dans les nuages. Tout cela se fait dans une relative discrétion, puisque Dropbox ne livre pas le nom de l'utilisateur qui a partagé le lien.
Moins de deux mois plus tard, de nouvelles fonctionnalités ont fait leur apparition sur Dropbox. La déclinaison du logiciel sous Android permet désormais de lire des vidéos en streaming. En effet, la dernière mise à jour du programme autorise le "transcodage" et la "lecture vidéo pour les utilisateurs d'Ice Cream Sandwich", qui est la quatrième version majeure du système d'exploitation mobile.
Cette nouveauté est disponible depuis lundi, via la mise à jour 2.1.4. Elle intéressera bien sûr les propriétaires d'un smartphone sous Ice Cream Sandwich, mais également les possesseurs d'une tablette tactile sous Android 4.0. Disponible également sur iOS, l'application ne propose pas encore de mise à jour intégrant le streaming vidéo. Mais cela ne saurait tarder.
À première vue, il sera possible de lire n'importe quel contenu en streaming puisque la seule véritable restriction reste l'espace de stockage du compte. Or, Dropbox propose de base pas moins de 2 Go de volume de stockage et il est possible d'obtenir 100 Go pour 19,99 dollars par mois. Qui plus est, l'acquisition de certains smartphones donne droit à de l'espace supplémentaire gratuit.

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 D'ici septembre, Orange va démarrer un beta test dédié au VDSL2. Il s'agit d'une technologie permettant d'atteindre un débit théorique de 100 Mbit/s en symétrique sans avoir besoin de faire de lourds investissements. Le VDSL2 nécessite une simple paire de cuivre, à la différence de la fibre optique. Mais le débit chute à mesure que l'abonné est éloigné du répartiteur.
En matière de très haut débit, le gouvernement précédent a présenté un agenda ambitieux. Nicolas Sarkozy a en effet souhaité que tous les foyers situés sur le territoire hexagonal accèdent au très haut débit d'ici 2025. Pour y parvenir, l'État a donc mis en place une politique de soutien pour cofinancer des projets portés par les collectivités territoriales, en lien avec les fournisseurs d'accès à Internet.
Mais ce plan n'est pas exempt de défauts. En avril, l'Inspection générale des finances a sorti un rapport sur l'efficacité des dispositifs publics actuels pour financer l'innovation. En matière de très haut débit, le service a questionné la pertinence de certains choix. Estimant que la fibre optique ne peut être déployée partout, l'IGF a marqué sa préférence pour l'utilisation du VDSL et du VDSL2 dans les zones rurales.
Ces technologies intéressent évidemment les opérateurs, car elles permettent de proposer des débits nettement plus importants que l'ADSL ou l'ADSL2+ sans qu'il soit nécessaire de mobiliser des fonds importants ou d'engager de lourds travaux d'infrastructure. Revers de la médaille, le débit chute vite à mesure que s'allonge la distance entre l'abonné et le répartiteur.
Selon le site Orange Info, l'opérateur historique va démarrer d'ici septembre un beta test dédié au VDSL2. Cette technologie moins onéreuse que la fibre optique permet d'atteindre des débits théoriques très élevés : 100 Mbit/s en symétrique (envoi et réception), ce qui équivaut aux débits constatés dans la fibre optique.

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http://www.vincentabry.com/nouveau-logo-twitter-17546 

Twitter change de Logo : l’oiseau va chez le coiffeur et regarde le ciel

Cela peut paraître anodin mais que l’on se détrompe : la nouvelle identité visuelle de Twitter est plus positive que la précédente!
En une image, Techcrunch résume les changements : l’oiseau est passé chez le coiffeur et s’est fait coupé la mèche sur le caillou, il a perdu une aile mais celles qui restent sont plus aérodynamiques, et surtout l’amélioration majeure : il regarde vers le haut (comme pour prendre son envol, ce qui présage d’une future montée en puissance^^).
new twitter logo

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Malgré l'arrivée d'un nouveau concurrent de poids - Google Drive pour ne pas le citer -, Dropbox continue son petit bonhomme de chemin et les rois du "cloud" viennent ainsi de mettre en ligne une mise à jour de leur outil sur Google Android. Comme souvent, on est bien d'accord, sauf que cette mise à jour apporte une petite nouveauté bien sympathique, à savoir l'intégration d'un lecteur permettant de lire tous les contenus vidéos. Mais attention, les amis, car pour profiter de cette fonctionnalité, vous devrez impérativement disposer d'un terminal fonctionnant sous Ice Cream Sandwich. Et en même temps, c'est assez logique
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Mon jolicloud "Hum... mais qu'est ce que je vais bien pouvoir faire avec tout ça ?

http://t.co/20rG0NOb voir quelque exemple d’utilité

































Le cloud computing1 est un concept qui consiste à déporter sur des serveursdistants des stockages et des traitements informatiques traditionnellement localisés sur des serveurs locaux ou sur le poste de l'utilisateur2. Plus précisément selon le National Institute of Standards and Technology (NIST), le cloud computingest l'accès via le réseau, à la demande et en libre-service à des ressources informatiques virtualisées et mutualisées3.
Bien que l'anglicisme cloud computing4 soit largement utilisé en français, on rencontre également les francisations informatique virtuelleinformatique dans le nuageinformatique en nuage5informatique dématérialiséestockage dans les nuagesstockage à distance ou encore infonuagique6.
Ce concept est vu comme une évolution majeure par certains analystes7, ou comme un piège marketing par d'autres, notamment par Richard Stallman8.
En France, la commission générale de terminologie et de néologie précise que l'informatique en nuage est une forme particulière de gérance de l'informatique, puisque l'emplacement des données dans le nuage n'est pas porté à la connaissance des clients5.
Les utilisateurs ou les entreprises ne sont plus gérants de leurs serveurs informatiques mais peuvent ainsi accéder de manière évolutive à de nombreux services en ligne sans avoir à gérer l'infrastructure sous-jacente, souvent complexe. Les applications et les données ne se trouvent plus sur l'ordinateur local, mais – métaphoriquement parlant – dans un nuage (cloud) composé d'un certain nombre de serveurs distants interconnectés au moyen d'une excellente bande passante indispensable à la fluidité du système. L'accès au service se fait par une application standard facilement disponible, la plupart du temps un navigateur web.

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CLOUD : CLARANET FRANCE VEUT PROPOSER AUX PME UN « DATA CENTER VIRTUEL »

Cloud Computing - Virtual Machine Motion
Le spécialiste européen des services Internet pour les entreprises (hébergement, infogérance…) lance son offre Virtual Data Center. Comment simplifier l’exploration du cloud sans s’encombrer de salles de serveurs.
Objectif : fournir aux entreprises des ressources cloud (calcul, réseau, stockage) en vue d’une gestion autonome.
« L’offre s’adresse aux PME mais elle nécessite des compétences informatiques en interne », prévient Olivier Beaudet, Directeur Général de Claranet France.
« A partir de 250 euros par mois, une entreprise peut avoir un mini-cloud avec plusieurs machines virtuelles. »
Si on entre davantage dans les spécifications techniques, il est possible de monter rapidement un centre de données virtuel privé connecté à un réseaux MPLS (Multi-Protocol Label Switching, protocole utilisé pour la gestion et l’exploitation des réseaux de nouvelle génération).
Des outils pour faciliter la migration des données vers le cloud sont fournis.
Claranet propose également un « portail libre-service » qui permet de faciliter l’administration et le pilotage du VDC.
Pour éviter les soucis de règlementation des données en fonction des pays, Claranet a choisi d’adopter le principe de localisation des données.
« Quel que soit le pays d’implantation de l’infrastructure client, le matériel, le support et la facturation seront situés dans ce même pays. En terme de sécurité de l’information, cela signifie que les données seront soumises à la législation en vigueur dans le pays de son choix », résume le communiqué.
Pour lancer cette offre de data center virtualisé, Claranet s’est associé à des acteurs comme Dell, NetApp, Cisco, VMware et Microsoft.
Le fournisseur de services IT pour les entreprises s’appuient sur ses propres data centers (15 en Europe, 1 aux Etats-Unis) affichant une certification ISO 27001 (sécurité des infrastructures).
En revanche, il a fait appel à un orchestrateur « pure player » (Abiquo, Espagne)
Des niveaux de services (SLA) spécifiques sont mis en place dans le cadre de l’exploitation de VDC. Mais, avant de s’engager, il faut déterminer le périmètre de services attendus avec VDC.
Ainsi, pour le démarrage, il n’existe pas d’offre associée pour la sauvegarde, pour le monitoring ou la « scalabilité automatique » (nivellement des ressources en fonction de la demande).
L’offre de prestations connexes sera étoffée progressivement, assure l’équipe de Claranet France.
Des services associés – plan de reprise d’activité (PRA) ou plan de continuité d’activité (PCA) – sont déjà proposés en option.
Et la compatibilité avec les autres fournisseurs de services cloud sera encouragée.
Ce sera le cas avec les interfaces de programmation (API) d’Amazon Web Services (AWS) dont l’interopérabilité devrait être assurée d’ici la fin de l’année.
A l’instar de la branche allemande, Claranet France projette de monter des partenariats avec un réseau d’intégrateurs et de revendeurs susceptible de toucher les PME. En attendant, elle privilégie la commercialisation directe de l’offre VDC.